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  • : Le blog de Satine
  • : Ecoutez les battements de mon coeur, laissez-vous bercer par sa musique et partagez ma passion pour la poésie.
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Coucher-de-soleil.jpg
Oh toi visiteur, amateur de poésie,

Que ta curiosité a mené jusqu’ici,
Laisse-toi naviguer au gré de tes envies
Parcours tout ce qui gravite autour de ma vie.
  Ce ne sont que des essais couchés sur papier,
Une partie de moi qui voulait s’exprimer,
Des mots que je ne pouvais laisser enfermés,
C’est tellement beau de les entendre chanter…
  Flotte sur les méandres de mes sentiments,
Partage rires et peines, vole à mes vents,
Vogue sur mes larmes lourdes comme une enclume
  Pour que ton cœur palpite au rythme de ma plume.


5 décembre 2007 3 05 /12 /décembre /2007 17:21
The army has stolen your love
I feel so alone without your body
Is it really because of this job
That you decided to leave me ?
 
Did you think about me, about us ?
No, you favoured your happiness.
I’m swimming in a lake of sadness
I only laugh when I remember of us.
 
 
Chorus :
Leave me my love, escape me
Get out of my soul, my vein
I’m fed up of this eternal pain
Suffocating and killing me.
Leave me my love, leave me.
 
 
Strangely I need this pain in my mind
Without it, I have no way to find
I don’t know where to go nor who I am
I am lost far from you, without your hand
 
 
Chorus
 
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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 17:47
Je veux être le visage que tu verras
Lorsque chaque matin, tu te réveilleras ;
Mais aussi les lèvres que tu embrasseras
Dans les moments de bonheur que l’on s’offrira.
 
Je veux être l’oreille de tes confessions,
L’épaule qui assouvira tes émotions,
La main qui te caressera avec passion
Pour te prouver mon amour avec ambition.
 
Je veux être celle que tu serreras contre toi
Pour me faire sentir l’amour que tu as pour moi,
Mais aussi celle qui te réconfortera
Dans tes moments de doute, peine, désarroi.
 
Je veux être à la fois l’amie et l’amante
Pour te soutenir bravement dans les tourmentes
Et la tendresse, la douceur permanentes
Pour que tu m’aimes encore qu’il neige ou qu’il vente.
 
Je veux être la femme que tu aimeras
Sans pouvoir expliquer pourquoi, c’est comme ça ;
Passer ma vie à tes côtés, au creux de toi
Afin de te rendre heureux, c’est ma seule loi.
 
Je veux être la mère de nos futurs trésors,
Les fruits de notre passion, cet amour si fort ;
Monte dans ma barque voguant vers le bon port
Celui de l’amour, fidélité, réconfort.
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1 décembre 2007 6 01 /12 /décembre /2007 13:11
tristesse-1.jpg

Gorge serrée, mains tremblantes, estomac noué,
Mes larmes n’éprouvent plus de joie à couler,
Celui que j’aime, cette nuit m’a avoué
Ne pas m’aimer, ce que je redoutais.
 
Je me sens encore une fois bien délaissée,
A force, je devrais y être habituée,
Mais c’est un autre poids qui, sur moi, est tombé,
Il me faudra bien du temps pour me relever.
 
Je ne t’en veux pas, tu peux être rassuré,
Dans mon cœur, tu es entièrement pardonné,
Tes sentiments, je ne peux te les dicter
Je ne veux nullement te forcer à m’aimer.
 
Notre relation, je l’avais imaginée,
Je la voyais belle, elle aurait duré,
Nous nous ressemblons tellement, de quoi rêver
Mais il me faut affronter la réalité.
 
Tu ne dois en aucun cas être désolé,
Tu ne pouvais pas savoir ce que j’espérais,
Même si j’ai essayé de te le montrer
Là-dessus aussi, je dois avoir échoué.
 
Ces poèmes, je tenais à te les donner,
Ils te sont dédiés, à toi de les conserver,
Je voulais t’envoyer le premier, le dernier,
Ils parlent de nous, il nous faut les partager.
 
Je te remercie de me l’avoir dit ainsi,
Tu as été compréhensif, toujours gentil,
Ca a du être pénible pour toi aussi ;
Notre destin était peut-être celui-ci.
 
Que mes poèmes t’aient plu, j’en suis bien ravie,
Je souhaite qu’il en soit de même pour ceux-ci,
Que malgré tout cela, nous restions amis
Et que nous sortions, si tu en as envie.
 
Je te remercie d’avoir embelli ma vie
Même si ce fut de courte durée, tant pis ;
N’oublie jamais que dans l’avenir infini,
Tu seras, pour moi, toujours plus qu’un simple ami…
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28 novembre 2007 3 28 /11 /novembre /2007 11:06
Je voudrais être libre sans aucun repère
Comme l’oiseau bleu survolant notre Terre,
La dentelle du ciel tournoyant en hiver
Ou l’orphelin grandissant sans père, ni mère.
 
Libre de vivre ma vie comme je l’espère,
Libre de raconter, de divulguer, de taire,
Libre de répudier, de réprouver, de plaire,
Libre d’être heureuse, triste, gentille, amère.
 
Je voudrais vivre au fond de l’océan, sous terre,
Dans un monde d’amour sans larme, désespère,
Près d’un havre de paix sans nul cri, nulle guerre,
Proche d’un lieu éloigné de la mort, désert.
 
Seule avec mes quelques amis, les plus sincères,
Seule avec mes rêves nullement éphémères,
Seule sans mes tristes peines bien trop sévères,
Seule sans mes souvenirs, tout laisser derrière.
 
Je voudrais être déesse, stopper l’enfer,
Souffle, vent, balayer, emporter la misère,
Rais de tristesse, chagrin, inonder la Terre,
Femme féconde, engendrer une meilleure ère.
 
Je ne suis qu’enfant ignorant ce qu’il faut faire,
Rêveuse, voyageant à des années lumière,
Pensive, qui sera-t-elle, qui doit-elle être ?
Pour plaire à celui qu’elle aime, hélas, espère.
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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 18:44
baiser-1.jpg

Anéantie, je suis par ta tendresse
Qui m’anime, me ravive, me berce ;
Celle-là même qui me fait mal, me blesse
Lorsque si loin de moi, tu me délaisses.
 
Noyée, submergée de larmes, je suis
Lorsque la nuit, tu n’es pas dans mon lit
Et que je replonge loin de la vie :
Quand je n’aime pas, jamais je ne suis.
 
 
Refrain :
Tu es le sang qui coule dans mes veines,
Tes ailes m’emmènent loin de ma peine.
Aveugle, je me sens devenir tienne,
Je me laisse emporter par ton amour
Qui me soulève de nuit comme de jour.
Oh mon Dieu mes sentiments sont trop lourds.
 
 
Tu es le premier à vivre l’amour comme moi
Je savoure chaque instant passé avec toi.
Est-il possible d’aimer à ce point-là ?
Tu m’enivres, je t’aime pour tout cela.

Refrain
 
 
 
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26 novembre 2007 1 26 /11 /novembre /2007 17:14
 
I came back in his arms again
And for the time being, I feel no pain
I think that it won’t go on for a long time
Because I know my baby so fine.
 
He is neither an angel nor a demon
But simply a man who doesn’t know who he is
I don’t want a river of diamonds
I’m waiting for his love, a promise.
 
Maybe I’m wrong, but I need his eyes
I haven’t chosen to love this guy,
My heart was wrong, now it’s too late
I hope one day, it will be great.
 
 
Chorus :
Why do I love you actually ?
You didn’t do anything for that baby
I know that one day you will harm me
But I don’t want you to leave me.
 
 
How many time, will I rely on my baby ?
I’m not so strong to admit reality
I will have regrets, that’s sure
But I need to know the future.

Chorus
 
 
I don’t understand what happens to me
I can’t do anything without his body
I would like to stay with him all life long
Because it’s my dream, my only one...

Chorus
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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 10:44
Poème écrit pour les 20 ans d'une amie...


Vingt ans, l’âge de tous les instants
Où la jeunesse s’épanouissant
Laisse place à de tendres moments
Dont on se souviendra à quarante ans.
 
Un léger sourire, les yeux larmoyants,
Ah qu’il était doux le temps de mes vingt ans
Où je mordais la vie à pleines dents
Sans songer au futur vieillissement.
 
La fac, les révisions m’ont volé bien du temps
Mais je leur dois ma situation maintenant ;
Il y avait les amis et leurs vannes à trois francs
Qui berçaient mes soirées d’été et de printemps.
 
A cet âge, que l’on est innocent !
On se croit au-dessus de tout, surpuissant,
Sur un petit nuage, loin du vent ;
Mais c’est bien mieux comme ça, finalement.
 
Demain les responsabilités, les paiements,
La vie en couple, pas toujours évident,
Les cris, les peurs, l’éducation des enfants,
Oh j’aimerais vraiment retrouver mes vingt ans.
 
Tout ça pour te dire haut et fort « profites-en ! »
Souris à la vie, à ses inconvénients,
Offre ta gaieté, des sourires incessants
Car on ne vit qu’une seule fois ses vingt ans.
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24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 11:18
amour.jpg

Tu es le soleil de mon univers
Mais aussi les océans de ma Terre,
La faune et la flore qui m’émerveillent
Et les couleurs de mon arc en ciel.
 
Tu es l’azur de mon ciel bleu
Tout comme la prunelle de mes yeux,
L’air parfumé que je respire
Mais surtout le destiné de mes sourires.
 
Tu es le point de mire de mon cœur
Et quand tu n’es pas là, les larmes de mes pleurs,
Ainsi que les cinq sens de mon corps
Ou les pépites de ma mine d’or.
 
Tu es tout ce que je veux toucher,
La clé de mon jardin secret
Mais aussi tout ce que je veux voir
Et le nectar que j’aime boire.
 
Tu es tout ce que je veux entendre
Et l’amour auquel je veux prétendre,
La musique qui me fait vibrer,
L’acidulé, le salé, le sucré.
 
Tu es la cible de ma flèche,
La saveur divine de ma pêche
Ainsi que les pétales de ma fleur
Et le sang qui fait battre mon cœur.
 
Tu es le rêve de mes nuits,
L’égérie de mes récits,
L’inspiration de mes poèmes
Ou tout simplement l’homme que j’aime.
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23 novembre 2007 5 23 /11 /novembre /2007 17:06
Sept mois de solitude, sept mois d’espérance,
Sept mois de vie sans ton sourire, ton regard ;
Mais mon âme est armée d’une énorme patience,
Je ne te laisserai jamais dans le brouillard.
 
Je t’ai donné mon cœur, puis offert mon amour,
Tu m’as donné mes plus belles heures douces et tendres,
Je t’aurais consacré ma vie sans nul détour,
Mais pauvre de moi, tu n’as pas voulu la prendre.
 
Mon cœur est déchiré, ma vie est terminée,
Il ne me reste que mes larmes pour pleurer,
Des souvenirs gais pour me faire rigoler
Et ma mémoire pour mieux me réconforter.
 
Il y eut un moment où je ne te voyais plus,
Des jours, des semaines sans voir ta silhouette ;
Heureusement qu’il y avait tes matchs de basket
Je t’y regardais, toi qui m’a tellement plu.
 
Quand je peux enfin t’apercevoir au lycée,
Je ne saurais dire l’effet que ça me fait,
Un aveugle trouvant l’usage de ses yeux
Vivrait comme moi ce moment si fabuleux.
 
J’ai besoin de toi et j’ai besoin de te voir
Comme je dois respirer, comme je dois boire.
Je voudrais tellement qu’à moi tu reviennes
Car ma vie sera à tout jamais la tienne.
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22 novembre 2007 4 22 /11 /novembre /2007 17:47
Avec le lycée, nous avons eu la chance et la possibilité de partir trois semaines au Bénin pour y enseigner. Durant deux ans, nous avons organisé des activités multiples (thé dansant, soirée africaine,  pièces de théâtre, ensachage, vente de brioches et autres...) afin de collecter des fonds pour notre voyage. Nous avons aussi pu ramener des fournitures scolaires aux enfants. 
J'en garde un souvenir fabuleux, les enfants étaient adorables alors qu'ils étaient en moyenne 60 par classe, ils portaient un réel intérêt à leur apprentissage, ce fut un plaisir d'être leur professeur... Le Bénin est un pays magnifique malgré sa grande pauvreté et les habitants sont réellement chaleureux, dépaysement garanti...


b--nin.jpg

Vent flottant dans mes cheveux,
Soleil brillant de mille feux,
Eau me berçant de ses flots,
Comme tout cela est beau.
 
Palmiers riches en noix de coco,
Sable fin en bordure de l’eau,
Fleurs répandant des senteurs
Que je respire à toute heure.
 
Je suis ici pour te visiter
Et je n’ai pas à le regretter,
Tu es si différente de ma terre
Que tout ici ne peut que me plaire.
 
Tes sentiers de terre rouge,
Tes cases en argile rouge,
Ta végétation si verdoyante,
Ton humanité si attachante.
 
Comment peut-on y résister ?
Répondez-moi chers piroguiers,
Vous qui voguez sur le lac
En lançant vos filets en vrac.
 
Afrique tu resteras dans mon cœur
Car tes paysages sont enchanteurs,
Tes habitants débordent de chaleur
Et tu m’offres ce qu’il y a de meilleur.
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