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  • : Le blog de Satine
  • : Ecoutez les battements de mon coeur, laissez-vous bercer par sa musique et partagez ma passion pour la poésie.
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Coucher-de-soleil.jpg
Oh toi visiteur, amateur de poésie,

Que ta curiosité a mené jusqu’ici,
Laisse-toi naviguer au gré de tes envies
Parcours tout ce qui gravite autour de ma vie.
  Ce ne sont que des essais couchés sur papier,
Une partie de moi qui voulait s’exprimer,
Des mots que je ne pouvais laisser enfermés,
C’est tellement beau de les entendre chanter…
  Flotte sur les méandres de mes sentiments,
Partage rires et peines, vole à mes vents,
Vogue sur mes larmes lourdes comme une enclume
  Pour que ton cœur palpite au rythme de ma plume.


1 juin 2008 7 01 /06 /juin /2008 20:42

Ma cousine m’a prêté le CD de Renan Luce « Repenti », je voulais vous faire découvrir le texte d’une de ses chansons que j’ai trouvé joli. La personnification de la feuille est originale et troublante à la fois.

Que doivent penser les miennes ?

 

JE SUIS UNE FEUILLE

 

                                                           


Aurais-je imaginé que je me trouverais là

Une mine de stylo plantée là sur ma peau ?

Les yeux de mon bourreau qui ne me quittent pas

Ma blancheur lui fait peur, je sais qu’il cherche ses mots.

 

Je suis une feuille blanche, je ne demandais rien

Qu’à rester sur mon arbre et attendre la fin

Moi j’aimais le vent se perdant dans les feuilles

Le murmure de la sève qui me donnait la vie

Moi j’aimais la hauteur que j’avais sur les choses

Je n’ai pas vu venir la lame qui m’a trahie.

 

Si au moins je servais de papier officiel

Pour signer les traités et protéger les faibles

Ou être dans les mains d’un poète oublié

Qui me jetterait ses vers comme on cherche un ami.

 

J’aurais pu être pressée sur le cœur d’une enfant

Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant

Ou être le pliage d’un gamin de huit ans

Et voler dans les airs sous les rires des enfants

Ou être dans les pages d’un livre d’histoire

Qui dit que le chemin est encore tellement long.

 

Mais voilà que je sens que la plume me frôle

Et les lettres se forment comme l’encre tourbillonne

Je n'ai jamais vu plus lourd que le poids de ces mots

C’est la misère d’un homme que je sens sur mon dos.

 

Il dit « je veux finir d’avec ma vie

Pardonne-moi mon amour mais je m’arrête ici

Ce n’est pas de ta faute si je baisse les bras

Mais j’ai perdu ma chance de gagner ici-bas. »

Et moi c’était mon rôle de porter tous ces mots

Et les larmes d’une femme tomberont sur moi bientôt.

 

J’aurais pu être pressée sur le cœur d’une enfant

Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant

Ou être le pliage d’un gamin de huit ans

Et voler dans les airs sous les rires des enfants

Mais je tourne la page d’une triste histoire

Qui dit que le chemin n’était pas tellement long…

Pas tellement long…

 

 

 

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10 décembre 2007 1 10 /12 /décembre /2007 17:50

Quand tes mains caressant mon corps
Laissent un passage d’encre d’or,
Je ne peux que te demander encore
De sentir ton corps dans l’effort.
 
La nudité ne me fait plus peur maintenant
Depuis que tu regardes mon corps tendrement,
Comme s’il était jonché de mille diamants
Et scintillait à faire tourner les vents.
 
 
Refrain :
C’est dans ton regard que je me trouve belle,
Dans tes bras que je me sens pousser des ailes
J’aimerais rendre cet amour éternel
Pour que plus jamais une larme ne ruisselle
Pour que plus jamais une larme ne ruisselle.
 
 
Comment peux-tu ne plus avoir confiance en toi
Quand tu me fais tourner la tête comme ça ?
Je ne peux plus me passer de ta douce voix,
Ces mots tendres qui provoquent en moi tant d’émois.
 
 
Refrain
 
Tes mains sur mon corps
Nos corps dans l’effort
J’entends toujours ta voix
Ta si douce voix

Refrain
 
 
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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 18:44
baiser-1.jpg

Anéantie, je suis par ta tendresse
Qui m’anime, me ravive, me berce ;
Celle-là même qui me fait mal, me blesse
Lorsque si loin de moi, tu me délaisses.
 
Noyée, submergée de larmes, je suis
Lorsque la nuit, tu n’es pas dans mon lit
Et que je replonge loin de la vie :
Quand je n’aime pas, jamais je ne suis.
 
 
Refrain :
Tu es le sang qui coule dans mes veines,
Tes ailes m’emmènent loin de ma peine.
Aveugle, je me sens devenir tienne,
Je me laisse emporter par ton amour
Qui me soulève de nuit comme de jour.
Oh mon Dieu mes sentiments sont trop lourds.
 
 
Tu es le premier à vivre l’amour comme moi
Je savoure chaque instant passé avec toi.
Est-il possible d’aimer à ce point-là ?
Tu m’enivres, je t’aime pour tout cela.

Refrain
 
 
 
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19 novembre 2007 1 19 /11 /novembre /2007 17:59
Quand viendras-tu me chercher, toi que l’on envie
Lorsque la peine, le vide, la souffrance
Nous submergent, nous étouffent, nous envahissent,
Lorsque tu deviens notre dernière chance ?
 
Quand deviendrai-je tienne, toi que l’on maudit
Lorsque le bonheur, le rire, l’innocence
Guident notre vie que l’on voudrait infinie,
Lorsque tu es malheur, tristesse, incohérence ?
 
 
Refrain :
Viendras-tu lorsque je t’appelle, te supplie
Ou quand j’aurai enfin trouvé goût à la vie ?
Me foudroieras-tu en plein sommeil, à minuit
Ou bien durant ma tendre jeunesse, à midi ?
 
 
Faucheuse de classe ou faucheuse de glace,
Chacun de nous, un jour, en toi, trouvera place.
On devrait pouvoir choisir cet instant fatal
Ne pas quitter le bonheur, rejeter le mal.
 
 
Refrain
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11 novembre 2007 7 11 /11 /novembre /2007 11:38
Chanson écrite à la suite d'une histoire compliquée pour une amie pianiste aujourd'hui professeur de musique. Elle appréciait mes textes, j'aimais sa voix et ses mélodies. Ce fut une belle rencontre où sa musique épousa mes mots avec justesse, harmonie et une infinie beauté qui les mit tant en valeur. 
Merci pour ces cadeaux, G... A vous d'apprécier...



Je me souviens de tes pleurs et de tes sanglots
Qui me faisaient devenir mère un peu trop tôt,
Mais aussi de tes ivresses désespérées,
J’apprenais à détester l’être tant aimé.
 
Je me souviens de tes sourires affectueux,
De ta main sur mon visage, timide aveu,
Des confessions hésitantes, tendres regards
Que ni la pensée, ni même le temps n’égarent.
 
 
Refrain :
Avec toi, je vogue selon les airs, les vents,
Selon la lune, voire les contre-courants
Pour pouvoir aimer cet être à double tranchant
Qui vacille entre homme détestable et aimant.
Je suis la seule à connaître son vrai visage
Je ne peux que l’aimer, j’en fais mon adage.
 
 
Redeviens l’ange que tu as été parfois ;
Caresse-moi de tes plumes mon bel oiseau,
Envole-moi hors de ces nuits froides sans toi,
Participe à nos rêves lointains mais si beaux.
 
 
Refrain
 
 
Chasse le doute, le désespoir de ton cœur,
Laisse-moi y mettre de l’amour, du bonheur ;
Tu verras alors le monde jonché de fleurs
Illuminé par la tendresse et la chaleur.
 
 
Refrain
 
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