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  • : Le blog de Satine
  • : Ecoutez les battements de mon coeur, laissez-vous bercer par sa musique et partagez ma passion pour la poésie.
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Coucher-de-soleil.jpg
Oh toi visiteur, amateur de poésie,

Que ta curiosité a mené jusqu’ici,
Laisse-toi naviguer au gré de tes envies
Parcours tout ce qui gravite autour de ma vie.
  Ce ne sont que des essais couchés sur papier,
Une partie de moi qui voulait s’exprimer,
Des mots que je ne pouvais laisser enfermés,
C’est tellement beau de les entendre chanter…
  Flotte sur les méandres de mes sentiments,
Partage rires et peines, vole à mes vents,
Vogue sur mes larmes lourdes comme une enclume
  Pour que ton cœur palpite au rythme de ma plume.


15 août 2015 6 15 /08 /août /2015 17:17

Il y a des instants marquants,

Des moments forts en émotion

Qui perdurent à travers le temps

Au point qu'on en perd la notion.

Cette journée a été magique,

Nos invités ont joué le jeu,

Leurs costumes étaient magnifiques,

On en prit plein les yeux.

Merci à vous tous chers amis

De soutenir notre délire,

Merci à nos deux familles

Pour leur bonne humeur, leurs rires.

Quant à toi, mon tendre époux,

Merci pour nos épousailles,

C'était un projet un peu fou

Qui méritait qu'on l'assaille.

Un dépaysement total,

Une incursion dans le passé,

Une décoration médiévale

A la lumière des chandeliers.

Une musique d'un autre siècle

Accompagnait nos victuailles,

Alors que sur la piste en cercle

Nos corps dansant livraient bataille.

Les surprises étaient inévitables :

Une pièce de théâtre comique,

Une danse vraiment inoubliable,

Une chanson, un poème lyrique.

Tout était réuni pour que ce jour

Reste à jamais gravé dans nos esprits,

Merci aux seigneurs, dames et troubadours

D'avoir fait rimer amour et magie.

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15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 01:39

J’ai peur de cette page blanche devant moi,

Je sais d’avance que je n’y parviendrai pas ;

Cela fait des mois que je m’encourage en vain,

Au fond de moi, ce doute grandit et m’étreint.

 

page-blanche.jpg


Comment trouver les mots, les bons, les justes mots,

Mon vocabulaire à nouveau me fait défaut,

Il n’est pas suffisamment riche pour décrire

Cet océan de bien être que tu m’inspires.

 

ecrire.jpg


Ces vagues mélodieuses, douces, cristallines,

S’insinuent dans mes tympans, légères, mutines

Tout comme le chant des sirènes d’autrefois,

Elles sont le reflet et l’embrun de ta voix.

 

vagues.jpg


Berceuse délicate qui m’endort le soir,

Réveil enthousiaste pour un nouveau départ,

Ton aura sonore délimite le temps

Tout en gommant la distance qui se méprend.

 

distance.jpg

 

Et que dire de tes mains et de ces caresses,

Ce sont des trésors sans fin, des puits de richesses ;

Comme des sillons de soie, elles me parcourent,

Je les appelle, les désire, les savoure.

 

caresse.jpg


Leur tiédeur est un baume réconfortant

Qui relaxe mon corps si subtilement,

Elle va de concert avec cette douceur

Dispensant soulagement et tendre chaleur.

 

mains.jpg


Quant à tes lèvres si subtilement charnues,

Elles me font fondre, elles me mettent à nu,

Elles m’attirent comme des écrins divins ;

Que j’aime y découvrir le bijou en leur sein.

 

levres.jpg


Tes baisers dispersés avec tant de tendresse,

Sont une ode à l’amour dans toute sa largesse,

Je ne peux résister à tout ce que tu es,

Je t’aime d’un amour sincère et passionné.

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14 février 2011 1 14 /02 /février /2011 17:55

rose.jpeg

 

Il y a des évidences contre lesquelles on ne peut rien

Qui prennent de l’importance quand le temps fait son chemin,

Notre cœur soudain s’élance même si on le retient,

C’est lui qui gère la cadence et choisit notre destin.

 

coeur.jpeg


Comme un pauvre pantin qu’une main inconnue manipule,

Notre corps indistinct évolue tel un somnambule,

Il arpente avec faim, des sentes nouvelles qu’il adule,

Ses pas vibrent sans fin vers cet élan qui le stimule.

 

timide.jpeg


Nos gestes incontrôlables subissent l’assaut des passions,

Nous devenons friables, trop lisses sous les émotions,

Nos sentiments s’attablent, choisissent les orientations

La chamade insondable s’immisce sans suspicion.

 

chamade.jpeg


Nous n’avons plus guère le choix, nous devons capituler,

La reine recherche son roi, le bon, pour s’abandonner,

Le recul n’est pas de bon aloi, il faut s'aventurer,

Rencontrer l’origine de l’émoi, le beau, l’étranger.

 

couple.jpeg


Les premiers mots sont les plus difficiles, ils ouvrent la voie,

Viennent les regards parfois subtils, qui attisent la foi,

Des envies communes se faufilent sans langue de bois,

Une issue ensemble se profile parsemée de joie.

 

kiss.jpeg


On s’émerveille chaque jour des beautés de notre élu,

On se réveille troubadour des peines disparues,

On appelle cela l’amour que l’on souhaite absolu,

Il m’ensorcelle, de nuit, de jour, depuis que je t’ai vu.

 

je-t-aime.jpeg

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8 janvier 2010 5 08 /01 /janvier /2010 18:26

home1.jpegQue cette maison soit notre petit cocon

Dans lequel on se sent bien en toute saison,

Conservant la chaleur dans les hivers glacials

Et la fraîcheur lors des canicules estivales.

 


home2Que cette maison soit notre nid douillet,

Des bras délicats qui aiment à nous bercer,

Des draps soyeux dans lesquels on se prélasse,

Des chants mélodieux éloignant les menaces.

 

home3Que cette maison soit l’âtre de notre amour,

Un feu étincelant illuminant nos jours,

Des flammes ardentes qui nous plongent l’un en l’autre

Et réchauffent tous les cœurs, y compris les nôtres.


home4Que cette maison soit le toit de notre avenir,

Qu’elle abrite notre passion sans jamais faiblir,

Nous protégeant des pluies de larmes et des orages,

Offrant sérénité, bonheur en héritage.

 

home5bQue cette maison soit le fruit de nos deux corps,

Le futur que l’on construit, notre doux trésor,

Que l’on s’y épanouisse de mille feux,

Avant d’y accueillir le reflet de nous deux.

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1 décembre 2009 2 01 /12 /décembre /2009 01:10
Pour fêter notre PACS et répondre en même temps au défi d'abeilles50, je te dépose ce petit message mon amour en utilisant l'expression "pour que tu m'aimes encore" ....




Pour que tu m’aimes encore, je ne vais pas te mentir,

Ni promettre des choses que je ne pourrais tenir.

Je resterai celle qui aujourd’hui te fait sourire

Par toute son excentricité et sa joie de vivre,

Je piocherai dans ma folie d’autres petits délires

A la recherche d’une esquisse, d’un léger fou rire.

 

Pour que tu m’aimes encore, je ne t’offrirai pas

Montagnes d’or, monts et merveilles ou je ne sais quoi.

Je te donnerai juste ce petit bout de moi

Qui t’a fait craquer il n’y a pas si longtemps que ça,

Je ne grandirai plus,  vieillirai par ci, par là

Mais garderai mon âme d’enfant et mon minois.

 

 

Pour que tu m’aimes encore, je ne vais pas te leurrer

En te disant qu’il n’y aura aucune difficulté.

Je serai là pour te soutenir et t’encourager

Car nul ne détruira ce que nous avons érigé,

Je brandirai mon courage face à l’adversité

En calmant les orages pour que revienne l’été.

 

 

Pour que tu m’aimes encore, je ne te trahirai pas

Toute vérité est bonne à dire et elle se doit.

J’opterai pour le dialogue en voix posée, calme plat,

Pour éviter les disputes, les silences qui noient,

Je te laisserai exposer tes idées et tes choix

Pour marcher ensemble vers le chemin qui nous sierra.

 

 

Pour qu’on s’aime encore, on doit être francs et sincères

Ne pas laisser nos doutes, nos peurs trop loin derrière.

On évitera de décevoir l’être si cher

En plongeant dans une routine, amour éphémère,

On poursuivra surprises, rires, efforts nécessaires

Pour que perdurent nos sentiments, nos coeurs offerts.

 

 

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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 19:34

Au nom de l’amour

 

Les penseurs disent que c’est le propre de l’homme

Et qu’il nous distingue des animaux, en somme,

Je dis qu’il est tout ce pourquoi l’on existe

Et que sans lui, rien ne vit, rien ne subsiste.

 


Au nom de l’amour

 

C’est un sentiment unique qui nous envahit

Contre lequel on ne peut résister.

Il bouscule nos pensées, notre esprit,

C’est une émotion forte  qu’on ne peut refouler.

 


Au nom de l’amour

 

Ses petites ondes nous électrisent

Pour parcourir notre corps à leur guise,

Elles laissent une guirlande de bien être,

Un sourire qui ne saurait disparaître.


 
Au nom de l’amour

 

Notre enveloppe charnelle fait des siennes

Elle rosit en présence de l’être aimé,

Notre cœur s’alarme comme une sirène

Répandant une chaleur qu’on ne soupçonnait.



 
Au nom de l’amour

 

On est mal à l’aise malgré tous nos efforts,

On bafouille, on parle trop vite, on perd le nord,

Nos mains s’agitent, nos entrailles se serrent,

On n'a plus faim ou on reprend un dessert.



 
Au nom de l’amour

 

On revit le passé, nos jeunes années,

On est maladroits, on doute sans cesse,

Le regard de l’élu peut nous rassurer,

On y recherche un bouquet de tendresse.


 

Au nom de l’amour

 

On déborde d’énergie et d’idées folles,

Même les incidents deviennent frivoles,

C’est difficile de se concentrer pleinement

Quand notre esprit converge vers nos précieux moments.

 


Au nom de l’amour

 

Nos rêves nous mènent aux frontières de l’inconnu

Où tout est délicat, soyeux et fleuri,

Le réveil est abrupt, on tombe des nues,

L’absence de l’autre pèse, notre cœur s’alourdit.



 
Au nom de l’amour

 

Mais malgré tout, on se sent pousser des ailes

En décrochant la plus belle étoile du ciel,

Le soleil de l’élu nous ramène à la vie :

« Sans l’amour de l’autre, jamais je ne suis. »

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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 10:50

Voici un petit poème que j'ai écrit d'Italie pour souhaiter un joyeux aniversaire à mon grand frère. J'en ai profité pour lui rappeler quelques souvenirs de notre enfance, cela l'a ému.



Désolée d’être absente pour tes 27 ans,

Mais j’ai succombé à l’appel des beaux amants,

J’ai rejoint ce pays que je vénère tant

Et peut-être que j’y resterai plus longtemps…

 

Sur ce je te souhaite un joyeux anniversaire

Que rires et bonheur en ce jour te soient offerts,

Même si je ne suis pas là pour lever mon verre

Que cette année se dévoile heureuse et prospère.

 

Un poème sans émotion n’en est pas un :

Que peut-on dire de nos vingt ans en commun,

Il y a eu des hauts, des bas, bonheur et chagrin,

Nos souvenirs, je n’en ai oubliés aucun.

Il y a eu notre combat pour tes cheveux longs,

Notre union contre une sœur d’un autre horizon,

Notre période Iron Maiden, Bon Jovi, Scorpions,

Puis nos câlins, nos fous rires, c’était si bon.

Tes p’tit’ déprimes,  je ne les comprenais pas,

Mais je les cerne mieux maintenant malgré moi.

Nos couteaux ne nous libèrent pas de la douleur,

Grâce à ta reine, tu as retrouvé le bonheur.

 

Heureuse que tu aies enfin trouvé l’amour

Et que des sourires tu offres plus souvent,

Je te sers contre moi, Burcinet d’amour

Et te souhaite plein de bonheur à chaque instant.

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12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 21:50
 



Ses mains sont un voile de soie

Glissant sur ma chair qui frissonne,

Douces, chaudes et délicates à la fois

En torrent de lave, elles me sillonnent.

Pour éprouver plus de plaisir,

Prolonger cet état de grâce,

Je cambre mon corps et ma peau s’étire

Sous cette tendresse, je me prélasse.

 

Tel le  vent caressant les dunes,

Ses mains doucement me façonnent

De mes pêches fermes jusqu’à mes lunes

Elles s’égarent puis je m’abandonne.

Leur velouté me submerge,

Je me sens pousser des ailes,

Mes yeux se ferment, mon être s’immerge

Dans cette flamme  qui m’ensorcelle.

 




Comme un papillon égaré

Je ne vois plus que leur lumière

Et m’y livre même aveuglée

Au risque de brûler ma chair.

 

Mais il n’y a que du miel sucré

Que ses mains déposent sur ma peau

Lisses et subtilement satinées

Elles guérissent tous mes maux.



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17 mai 2008 6 17 /05 /mai /2008 14:15

                                                                                                                                       
       


                                        




Il est celui vers qui mon regard s’est tourné

 Sans le vouloir, sans le savoir, sans le chercher ;

Mes yeux s’y sont attardés puis égarés

Pour le découvrir et ne plus le quitter.

 

Il est le reflet de mes pensées profondes

Qui se mire si bien au sein de mon monde ;

Mes mots sortent de sa bouche vagabonde,

Dans mon esprit germent ses idées fécondes.

 

Il est celui qui offre tant de douceur,

Que je découvre la tendresse avec candeur ;

Son sourire c’est une main sur mon cœur

Attisant l’espoir d’un éventuel bonheur.

 

Il est celui qui m’écoute patiemment

Et qui me comprend d’un regard  innocent ;

Ses yeux posés sur mon corps me montrent ardemment

Une beauté que je ne percevais avant.

 

Il est le frisson qui s’immisce sous ma chair

Quand nos mains enfin unies se joignent, se serrent ;

Plus de panique ou d’angoisse, il me libère

Pour un temps que je sais d’avance éphémère.

 

Il est aussi l’origine d’une souffrance

Lorsque loin de ses mains, je suis en errance ;

Chacun de ses départs me flagelle en silence,

Le vide alors me submerge en abondance.

 

Il est cette solitude qui me dévore

Quand mon âme se heurte à l’ombre de son corps ;

Ce manque cruel me paralyse dès l’aurore

Et jusqu’au soir, s’abat sur moi comme un poids mort.

 

Il est ce doute immuable qui me parcourt,

M’assomme et m’affaiblit un peu plus chaque jour ;

Quand me feras-tu mal, mon amour, à ton tour ?

Je n’ai pas droit au bonheur, juste à ses contours.

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23 avril 2008 3 23 /04 /avril /2008 17:04

Troisième poème écrit pour une amie, il s’agit de la suite de l’article « viendras-tu » déjà publié dans le thème « amour ».

 

Si tu t’en vas loin de moi, il me restera

Les souvenirs d’une rencontre inespérée :

Nos deux âmes étaient égarées dans leur foyer,

On ne leur accordait pas assez d’intérêt,

Elles voulaient de la chaleur pour exister,

Un feu les réchauffa : ce fut moi, ce fut toi.

 

Si tu t’en vas loin de moi, il me restera

Nos premiers textes qui appelaient au secours :

Des e-mails anodins postés au jour le jour

Revêtirent soudain une voix de velours

Pour réclamer plus d’attention puis plus d’amour

Et c’est toute leur beauté qui nous rapprocha.

 

Si tu t’en vas loin de moi, il me restera

Nos étreintes impatientes riches de tendresse :

Nos mains se touchèrent tout en délicatesse

Puis se mirent à délivrer avec adresse

La douceur, le plaisir d’ineffables caresses

Que rien ni personne, à jamais, n’effacera.

 

Si tu t’en vas loin de moi, il me restera

La sensualité de notre relation :

Submergés par la fougue de notre passion,

Nos corps ne résistaient plus à la tentation,

Ils se ranimaient, ensemble, avec dévotion

Offrant une intensité que l’on n’oublie pas.

 

Si tu t’en vas loin de moi, il me restera

Cette douceur qui mettait mon corps en émoi,

Cet apaisement au moindre son de ta voix,

Ce retour à la vie au toucher de tes doigts,

Le velouté de tes lèvres posées sur moi,

Mais éternellement il me manquera…toi.

 

 

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