Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de Satine
  • : Ecoutez les battements de mon coeur, laissez-vous bercer par sa musique et partagez ma passion pour la poésie.
  • Contact

Texte Libre

Recherche

Référencement

PageRank Actuel
Actualité blog 

Archives

Bienvenue

Coucher-de-soleil.jpg
Oh toi visiteur, amateur de poésie,

Que ta curiosité a mené jusqu’ici,
Laisse-toi naviguer au gré de tes envies
Parcours tout ce qui gravite autour de ma vie.
  Ce ne sont que des essais couchés sur papier,
Une partie de moi qui voulait s’exprimer,
Des mots que je ne pouvais laisser enfermés,
C’est tellement beau de les entendre chanter…
  Flotte sur les méandres de mes sentiments,
Partage rires et peines, vole à mes vents,
Vogue sur mes larmes lourdes comme une enclume
  Pour que ton cœur palpite au rythme de ma plume.


16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 18:28

Le défi n° 29 proposé par abeilles50 responsable de la communauté "ruche de beaux mots" avait pour sujet : le Septième Art… Comme vous vous en doutez, je ne pouvais qu’y succomber. Mais pour parfaire mon texte, j’ai demandé à un autre cinéphile de bien vouloir y participer. Ce cinéphile est bien connu et son blog fait des merveilles, alors n’hésitez pas à aller y jeter un petit coup d’œil quand vous êtes tentés par un film ou que vous hésitez à aller le voir au cinéma. Il s’appelle Vance et son blog s’intitule Millennium Visions. C’est notre deuxième défi commun, vous pouvez lire le précédent en cliquant ici.

J’espère que cette petite saynète vous plaira et, si le cœur vous en dit, essayez donc de deviner de quelles œuvres sont tirées les répliques en rouge et violet (ne tentez pas de cliquer, elles ne renvoient sur aucune page). Il y a en tout 78 films répertoriés, et jamais deux fois le même.

Enjoy !

 

Une rencontre de cinéma

(Un défi littéraire par Satine & Vance)

 

Ah ! les joies des rencontres par site internet interposé ! Imaginez ce qui pourrait se passer si deux personnes de sexe opposé, cherchant l’âme-sœur, et ayant coché « Cinéma » dans le registre des loisirs favoris, décidaient de se rencontrer. Pour de vrai. Enfin. Les yeux dans les yeux, tout ça quoi…

Imaginez…

 

LUI 

Pseudo : Maximus

Centres d’intérêt : le cinéma (et tout plein d’autres choses)

 

ELLE

Pseudo : Bella

Centres d’intérêt : le cinéma (et tout plein d’autres choses)

 

LIEU : la terrasse d’un restaurant. Parisien. Plutôt bien fréquenté.

 

HEURE : fin de soirée.

 

METEO : agréable.

 

OK. Silence sur le plateau. Ca tourne et… action !

 

 

 

MAXIMUS : Vous êtes Bella ?

BELLA : (Elle sourit.) Tu aimes les films de gladiateurs ?

MAXIMUS : OK, vous êtes Bella. (Il soupire et sourit. Ils s’asseyent.)

BELLA : A vous maintenant. Qui êtes-vous ?
MAXIMUS : Qui ? « Qui » n’est autre que la forme qui résulte de la fonction de « qu’est-ce-que », et ce que je suis, c’est un homme sous un masque.

BELLA : (agacée) Ça, je vois...

MAXIMUS : Je pourrais aussi vous dire : « Je m’appelle John Cofee. C’est comme le café, mais ça ne s’écrit pas pareil. »

BELLA : [Super l’humour, j’ai passé l’âge de ces conneries.] Quel homme es-tu donc qui, dans l’ombre de la nuit, vient trébucher sur mes pensées secrètes ?

MAXIMUS : Quel intérêt ? Nous savons ce que nous sommes mais ce que nous serons, nous ne le savons pas.

BELLA : C’est ton nom seulement qui est mon ennemi, ce n’est pas la main, ni le pied, ni le bras, ni le visage, ni la moindre partie de la personne elle-même.

MAXIMUS : Je suis une sorte d’agent commercial pour un grand importateur. Je finis toujours le travail pour lequel on me paie.  (Un peu désemparé) Vous savezCela fait une demi-heure que je vous dévore des yeux depuis l’autre bout de la pièce.

BELLA : Il vaut mieux ne pas dire certaines choses. Je crois que c’était quelque chose de si beau que ça ne peut pas s’exprimer avec des mots et c’est pour ça que mon cœur en souffre.

MAXIMUS : Oh ! (La dévisageant.) Vous croyez aux miracles, mademoiselle ?

BELLA : Si tu ne décides pas de ton destin, c’est ton destin qui décide pour toi.

MAXIMUS : J’assume mes fautes et j’essaie de ne pas fuir mes responsabilités.

BELLA : Vous faites quoi dans la vie ?
MAXIMUS : Je suis retraité, j’ai inventé l’eau tiède quand j’étais gosse. (Il rit.) Mais, en fait, euh… je suis malade de désir.

BELLA : (Cynique.) Quand les hommes évoquent l’amour, ce n’est que pour parvenir à leurs fins.

MAXIMUS : (Du tac au tac.) Magnifique démonstration de ce qui saute aux yeux.  (Il se rengorge.)

BELLA : [ Mon Dieu, faites de moi un oiseau que je puisse m’envoler loin loin d’ici. ] Je ne vous ferai pas l’honneur de relever cette remarque qui dénote un ressentiment à mon encontre. Mais je me dois de fustiger votre pessimisme qui frôle le défaitisme. (Elle soupire.) Dites-moi, croyez-vous que pour chaque homme il n’existe qu’une seule compagne idéale ?

MAXIMUS : [Que répondrait un intellectuel dans ce cas ?] (Il hésite.) La plus grande vérité qu’on puisse apprendre un jour est qu’il suffit d’aimer et de l’être en retour...

BELLA : Dis-moi un nom d’une personne qui soit partie de rien et qui ait trouvé le grand Amour ?
MAXIMUS : Un nom ? [Un nom, elle veut un nom, mais j’en sais rien moi... Cette salope de Cendrillon ?!] Trouver quelqu’un qu’on aime et qui nous aime, ces chances sont minuscules. Ecoutez, je me répète peut-être mais vous êtes si belle que ça en est douloureux !

BELLA : (Faussement offusquée) Il ne faut pas regarder les gens, ça les met mal à l’aise. Vous ne savez pas comme c’est dur d’être une femme qui a mon physique.

MAXIMUS : Vous ne savez pas comme c’est dur d’être un homme qui regarde une femme qui a votre physique.

BELLA : (Souriant à nouveau) Je rêve que nous sommes des papillons n’ayant à vivre que trois jours d’été. Avec vous, ces trois jours seraient plus plaisants que cinquante années d’une vie ordinaire.

MAXIMUS : D’accord, je sais qu’il n’y a pas de musique, et il ne neige pas, mais on peut se dire qu’on vit un moment unique. Non ?

BELLA : C’est vrai, c’est étrange comme on change, sans même y penser... Parfois, toute une vie se résume à un geste fou : vous rencontrer.

MAXIMUS : [Quelle naïve quand même ! On peut convaincre tout le monde qu’on a changé mais jamais soi-même.] Le royaume du possible existe en chacun de nous.

BELLA : Vous avez raison : il y a du bon dans ce monde, et il faut se battre pour y arriver. Mais au fait, vous ne m’avez toujours pas dit votre nom. Et puis, vous avez une famille ?

MAXIMUS : J’avais une femme mais elle m’a plaqué. Non mais vous le croyez ça ?

BELLA : Dans l’absolu... Ah, excusez-moi, j’ai un message important ! (Elle consulte rapidement son i-Phone.)

MAXIMUS : (Il s’impatiente.) Ouais, mes deux derniers aussi étaient importants. Le premier était de ma femme, pour me dire qu’elle me quittait. Le deuxième de mon avocat, lui aussi pour me dire qu’il me quittait. Avec ma femme. (Il se tait, cherche ses yeux. Elle éteint son mobile et le regarde. Il reprend, plus doucement.) Elle était un point de repère fixe dans un monde étourdissant. Jamais j’ai pu l’oublier... Jamais. J’ai aimé des tas de filles, mais aucune comme ça. C’était vrai. Jamais j’oublierais son premier regard, ça été comme un choc, je ne savais pas ce qui m’arriverai ni ce que je devais faire, ça avait toujours été facile avec les autres filles, mais elle ne me regardait pas... J’étais amoureux de cette fille... Son absence a envahi tout mon horizon, comme si on avait percé un trou béant dans ma poitrine...

BELLA :  (Compatissante.) Ça fait tellement du bien d’aimer les gens qu’on aime que ça finit par faire mal.

MAXIMUS : Lorsque nous aimons nous sommes tous des idiots. (Il hésite un court instant.) J’avais 4 mois quand mon père a quitté ma mère. Je me demande parfois s’il a eu le temps de plonger son regard dans mes yeux bleus, et de se dire : « Est-il possible que j’aie engendré le plus insignifiant trou du cul du 21e siècle ? »

BELLA : Continuez.

MAXIMUS : J’ai grandi dans un quartier malfamé où on arrive mieux à obtenir quelque chose avec un mot gentil et un flingue qu’avec un mot gentil tout seul.

BELLA : Je sais ce que c’est : dans la plupart des grandes villes, les gens ont l’art de ne pas se mêler des affaires des autres. On recommande aux femmes, si jamais elles se font agresser, de ne jamais appeler au secours, il faut crier au feu. Si vous criez au secours, personne ne vient. (Ses yeux fixent un point éloigné.) Je n’aime plus le monde dans lequel je vis ! Et tous les gens autour de moi... et l’inertie de mon existence qui se dérobe sous mes pas, sans que je puisse l’en empêcher... J’ai l’horrible impression d’être dans une pièce pleine de monde et j’ai beau hurler comme une folle, il n’y a personne qui se soucie de moi !

MAXIMUS : La liberté que nous cherchons n’est pas une contrée lointaine, elle est en nous. Excusez-moi ! (Il déclenche l’alarme de sa voiture garée à deux pas.)

BELLA : Vous êtes venus dans cette casserole ? Mmmh, vous êtes plus courageux que je ne le pensais. (Avisant le serveur.) Ah, je crois qu’il faut qu’on passe commande. Je vais prendre du poisson. Et vous ?

MAXIMUS : Je mange pas de poisson...
BELLA : Pourquoi ?

MAXIMUS : Ils pissent dans la mer !

BELLA : Les enfants aussi...

MAXIMUS : Je mange pas d’enfants non plus ! (Ils rient de bon cœur.)

BELLA : Ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts, vous savez ?

MAXIMUS : (La regardant dans les yeux.) Ce qui ne me tue pas me rend plus... bizarre.

BELLA : Autant rigoler, la vie va te sembler vachement longue si tu prend trop au sérieux les choses qui t’arrivent.

MAXIMUS : Le seul moyen d’allonger la vie, c’est d’essayer de ne pas la raccourcir. En fait… (il hésite. Elle le regarde intensément.) La mort nous sourit à tous, tout ce qu’on peut faire, c’est lui sourire à notre tour. (Long silence.)

BELLA : C’est comme ça qu’on voit si on se plaît avec une personne, quand on peut se taire tout à fait, au moins une minute et profiter du silence. (Elle lui sourit.)

 

MAXIMUS : (Se frottant les mains.) Oh putain, j’ai tellement faim que je boufferais le cul d’une vache enragée !

BELLA : [Je sais pas c’qui me retient de le mettre en orbite !] L’homme est un loup pour l’homme, et surtout pour la femme. (Elle fait la moue.)

MAXIMUS : (Il ne relève pas et passe commande à son tour). Tu sais ce que tout le monde aime ? Le clafoutis. T’as déjà rencontré quelqu’un à qui tu dis : « Fais péter le clafoutis ! », et qui te dit, « J’aime pas le clafoutis » ? Il n’y a rien de plus clafoutant que le clafoutis !

BELLA : [Mieux vaut être célibataire que mariée à un chieur. ] (Elle soupire.) Un jour, un jour mon rêve se réalisera ! Un matin, tu te réveilles et tu comprends que ce rêve n’arrivera jamais, toutes ces années il t’a taraudé, il fout le camp, t’es au bout de la route. Il ne s’est rien passé, ça n’arrive jamais, parce que finalement t’as rien fait pour ça ! Tu le ranges dans un coin de ton cerveau et tu t’affales dans ton fauteuil pour t’abrutir de séries télé jusqu’à ce que ton existence de merde s’achève. 

MAXIMUS : (Cynique.) Je suis comme la poisse, j’arrive là où on ne m’attend pas. (Il la pointe du doigt.)

BELLA : (Ironique.) Il n’y a rien de plus beau qu’un ego meurtri sur le visage d’un ange.

MAXIMUS : (Faussement indigné.) Je suis comme je suis, je fais ce pourquoi je suis fait.

BELLA : (Secouant la tête.) Vous êtes le degré zéro de l’humanité.

MAXIMUS : La honte est comme la douleur, on ne l’éprouve qu’une fois.

BELLA : (Furieuse.) Quand on n'a pas d’amour dans le cœur, on n’a rien du tout. Pas de rêve, pas d’histoire à raconter. Rien du tout...

MAXIMUS : (Grandiloquent.) Non je n’ai aucun cœur ! Je n’éprouve ni amour, ni peur ; aucun chagrin, ni joie d’aucune sorte ; je ne suis qu’une enveloppe charnelle, destinée à vivre jusqu’à la fin des temps !

BELLA : Ma mère m’avait bien dit : Si jamais il y a une chose à laquelle tu tiens par dessus tout, n’essaie pas de la retenir, si elle te revient, elle sera à toi pour toujours, si elle ne revient pas, c’est que dès le départ, elle n’était pas faite pour toi... (Elle rassemble ses affaires.)

MAXIMUS : Il fait froid ici, ou ça vient d’moi ? (Reprenant son sérieux.) Voyons, tu sais bien que dans les livres, les amoureux terminent ensemble à la fin de l’histoire.

BELLA : C’est pas écrit sur ma figure, et pourtant j’suis une sale peste pleine de rancune. (Elle se lève, décidée.) J’aimerais poursuivre cette conversation mais j’ai un vieil ami pour le diner.

MAXIMUS : Tu t’en vas ?

BELLA : Si tu connais la réponse pourquoi poses-tu la question ? (Au serveur, qui apportait les plats.) J’ai besoin de vacances.

SERVEUR : (Enigmatique.) La vie est tout de même une chose bien curieuse... Pour qui sait observer entre minuit et trois heures du matin.

MAXIMUS : (Fataliste, il la regarde s’éloigner.) Ouais, mon vieux, y’a d’quoi se la prendre et se la mordre !

SERVEUR : J’imagine qu’il y a des gens qui naissent avec la tragédie dans le sang.

 

THE END

 

 

Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

V pour Vendetta.

la Ligne verte

l’Arme fatale

Shakespeare in love

Hamlet

Roméo+Juliette

Requiem for a dream

le Bon, la Brute & le Truand

Bodyguard

les Evadés

le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain

Iron Man

Kill Bill 2

Kiss kiss bang bang

la Leçon de piano

Robin des bois, prince des voleurs

Sherlock Holmes

Forrest Gump

O’Brother

A tout jamais, une histoire de Cendrillon

Un poisson nommé Wanda

Moulin rouge !

Pretty Woman

Coup de foudre à Notting Hill

Pearl Harbour

Sixième Sens

Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

Bright Star

Bridget Jones : l’âge de raison

la Belle & la Bête

Avatar

Usual Suspects

Un monde meilleur

le Seigneur des Anneaux : la Communauté de l’Anneau

Scream

Scoop

le Cinquième Elément

Virgin Suicides

Twilight, chapitre 2

LOL : laughing out loud

Orgueil & Préjugés

Wanted

les Incorruptibles

Seven

Titanic

le Roi Arthur

Star Wars : Un nouvel espoir

Closer : entre adultes consentants

Conan le barbare

the Dark Knight

Garden State

Mon nom est Personne

Gladiator

Pulp Fiction

Point Break

Toy Story 2

Dirty Dancing

Shrek

Persépolis

Collatéral

Indiana Jones & la Dernière Croisade

Kill Bill

Kingdom of Heaven

Pour le pire & pour le meilleur

les Liaisons dangereuses

Australia

Van Helsing

Proposition indécente

Demolition Man

Love actually

Eternal Sunshine of the spotless mind

le Silence des agneaux

X-Men

Terminator 2

le Quai des brumes

Last Action Hero

Donnie Darko

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

S
<br /> Tout à fait enriqueta, ah l'amour, il se modélise si bien sur la toile.<br /> <br /> <br />
Répondre
E
<br /> Ah! L'amour en cinémascope!<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> De rien Nettoue.<br /> Bisous et bonne fin de semaine<br /> <br /> <br />
Répondre
N
<br /> mzrci chère cinéphile.<br /> Bonne journée à toi<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> Ouais "le vieil ami" était bien placé mamalilou, bien vu et merci pour tous ces compliments....<br /> Bisous<br /> <br /> <br />
Répondre
M
<br /> lol "le vieil ami pour dîner" prend une valeur particulière quand on sait de quel film cette réplique est extraite...<br /> <br /> excellent exercice, chapeau mdame!!!!<br /> doux bisous relevés, comme ce défi de main de maître...-sse en l'occurrence<br /> jsuis épatée (non j'ai pas dit empattée!!!)<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> Merci Cristal, c'est sympa d'être passé et d'avoir essayé.... Bisous<br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> Génial ton écrit Satine, je t'avoue que je n'aurai pas trouvé tous les titres de films... mais comme tu dis à chacun ses passions...<br /> gros bisous et bonne soirée à toi<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> C'est tout à fait ça Nettoue, passionnée ! Il ne peut se passer une journée sans un film ou au moins une série, même si le film dans mon coeur prévaut. Cette seconde passion me prend beaucoup de<br /> temps ce qui explique le peu de publications sur mon blog....<br /> Bisous et bonne semaine à toi.<br /> <br /> <br />
Répondre
S
<br /> Merci E-Fee-Mer, que de compliments ! Oui c'était un gros travail mais en même temps ça nous a bien fait rire et puis ça nous a rappelé quelques répliques franchement marrantes qu'on n'a parfois<br /> pas pu mettre et c'est bien dommage.<br /> Normal pour la fameuse réplique de Pretty Woman, j'ai même le rire complètement déjanté qui vient juste après, pour les femmes c'est un film culte !<br /> Merci d'être passée et à bientôt j'espère<br /> <br /> <br />
Répondre